1. La Costa del Coco
Avec des récifs qui protègent ses plages de sable blanc et ses eaux sereines, la « côte des cocotiers » est incontestablement la Mecque touristique du pays. Quelque 40 milles (64 km) ininterrompus de plages sablonneuses, des panoramas sur la mer infinie et des bouquets de cocotiers alternant ici et là avec des grappes de villas et d’hôtels peu élevés. Depuis les années 1980, un boom de construction a vu s’élever d’énormes cités touristiques autonomes le long du littoral, protégeant leurs attractions et leurs installations variées du reste du monde. Si vous le souhaitez, il est possible d’échapper au luxe de l’enclave de l’hôtel et d’explorer les plages spectaculaires – les unes tranquilles, d’autres plus sauvages – qui s’étendent à perte de vue.
(Crédit photo : Thinkstock/iStockphoto)
2. Saint-Domingue: La zone coloniale
La Zona Colonial est le cœur historique de Saint-Domingue. Ce mille carré de jolies rues et de places ombragées renferme quelques-uns des plus anciens bâtiments coloniaux de l’hémisphère occidental, incluant sa cathédrale. Déambuler le long de la Calle de las Damas, c’est marcher sur les traces des premiers conquistadors espagnols, qui ont utilisé Saint-Domingue comme base d’opération pour conquérir l’Amérique latine. Pourtant, le quartier n’est pas un artéfact de musée. Il est parsemé de boutiques, de restaurants et de cafés, plusieurs d’entre eux étant logés dans des édifices de l’époque coloniale. C’est aussi un véritable quartier, où les familles s’assoient à l’extérieur de leurs maisons le soir pour profiter de la fraîcheur.
(Crédit photo : gracieuseté du ministère du Tourisme de la République dominicaine)
3. Saint-Domingue : La cité moderne
Au-delà de la Zona Colonial il existe une métropole en constante évolution de plus de deux millions d’habitants où les banlieues chics côtoient de sombres bidonvilles et où les parcs tranquilles et les musées offrent une trêve à la circulation frénétique de la capitale. À partir de la rivière et de la côte, la ville rayonne vers l’intérieur des terres depuis les quartiers denses du 19e siècle jusqu’aux quartiers commerciaux plus étalés de la haute-ville moderne. Les influences espagnoles et caribéennes qu’on retrouve dans les balcons en fer forgé et dans les sculptures ornementales en bois au style de pain d’épices cèdent la place aux fonctionnelles tours de bureaux bétonnés et des banlieues.
(Crédit photo : gracieuseté du ministère du Tourisme de la République dominicaine)
4. Constanza et « Les Alpes dominicaines »
À 80 km à peine de la chaleur tropicale de Saint-Domingue, les hautes terres fraîches de l’intérieur du pays constituent un monde à part. Dominée par l’imposante Cordillera Central, la chaîne de montagnes qui forme la colonne vertébrale de l’île, la région centrale est un paradis pour les amoureux de la nature avec des parcs nationaux protégés, des ruisseaux et des vallées. La douceur du climat favorise la culture comme celle les fraises et en hautes altitudes, les gelées ne sont pas rares. Les vertes prairies et les forêts de pins sont loin de projeter l’image habituelle des Antilles, et le plus haut sommet des Caraïbes, le Pico Duarte, domine la scène.
(Crédit photo : gracieuseté du ministère du Tourisme de la République dominicaine)
5. Santiago
Santiago de los Caballeros (Saint-Jacques des Chevaliers) est la deuxième plus grande ville de la République dominicaine. Depuis sa fondation en 1495 par 30 gentilshommes espagnols, cette métropole animée s’est toujours crue plus fortunée et plus travaillante que la capitale. Située dans la fertile vallée du Cibao, Santiago est depuis sa fondation la plaque tournante des richesses agricoles du pays et ses familles millionnaires doivent en grande partie leur fortune au sucre et au tabac cultivés dans les environs. La ville est plus calme que Saint-Domingue, mais très animée dans la Calle del Sol et autour de l’historique Monumento a los Heroes.
(Crédit photo : gracieuseté du ministère du Tourisme de la République dominicaine)
6. Puerto Plata
Le « Port de l’Argent » est situé entre l’étincelant océan Atlantique et l’imposante masse du Pico Isabel de Torres. Ses racines remontent à 1495, mais ce n’est que dans les années 1970 que ce port provincial autrefois endormi fut rajeuni par l’arrivée du tourisme de masse. Les stations balnéaires de Playa Dorada et de Sosua situées à proximité attirent chaque année des cohortes de visiteurs. Mais il ne faut pas manquer le cœur coloré de Puerto Plata, avec son architecture victorienne, ses galeries et ses restaurants. Les rues serrées du centre-ville remontent au bref essor du tabac durant le 19e siècle. C’est le meilleur endroit pour s’imprégner de l’atmosphère d’un âge d’or révolu.
(Crédit photo : gracieuseté du ministère du Tourisme de la République dominicaine)
7. La baie d’Isabela
Située au milieu d’un des paysages les plus accidentés du pays et bordée de plages magnifiques, La Isabela transpire l’histoire des premiers établissements coloniaux permanents des Amériques. La baie protège une étendue calme de l’océan, tandis qu’une plage d’un blanc immaculé ressemble beaucoup à ce qu’elle devait être en 1493 quand Christophe Colomb a décidé d’y créer une ville, nommée en l’honneur de la reine espagnole. Les ruines excavées de La Isabela donnent une puissante impression de ce moment décisif, mais c’est son emplacement autant que l’étalement archéologique qui rend cet endroit exclusif. Une randonnée audacieuse à travers un terrain difficile sera récompensée par un aperçu inoubliable de la façon dont l’histoire a évolué au fil du temps.
(Crédit photo: gracieuseté d’Atomische Tom Giebel/Flickr)
8. Las Terrenas
Petit village de pêcheurs délabré il y a seulement 30 ans, Las Terrenas est devenu l’un des centres touristiques les plus prisés de la République dominicaine. Une vague d’expatriés d’Amérique du Nord et d’Europe a apporté une vaste gamme de petits hôtels et de restaurants adaptés pour le voyageur indépendant. Mais l’exploitation n’a pas ruiné l’atmosphère détendue de cette accueillante communauté balnéaire. Située sur la côte nord de la péninsule de Samana, bande de terre luxuriante qui plonge dans l’Atlantique, la ville est bénie par la proximité de certaines des plus belles plages du pays et par la campagne spectaculaire tout autour. Des bosquets de cocotiers bordent de vastes étendues de sable blanc qui glissent en pente douce et invitante vers l’eau claire et chaude.
(Crédit photo: gracieuseté de Pascal Pizzol/Flickr)
9. La Romana
Le « Roi Sucre » règne encore à La Romana, ville portuaire du sud, un lieu consacré à couper, moudre et exporter le sucre depuis 1917. L’énorme moulin à sucre, endommagé par l’ouragan Georges de 1998, domine toujours la ville, et si vous vous promenez dans la campagne environnante vous êtes susceptible de voir des trains remplis de cannes. Le tourisme a maintenant remplacé le sucre comme industrie principale de la ville dont la proximité de Casa de Campo Resort fait la fierté. Ce tropical terrain de jeu balnéaire, avec ses installations sportives et ses jardins exquis, propose un choix d’activités des plus sophistiqués.
(Crédit photo : gracieuseté du ministère du Tourisme de la République dominicaine)