1. Quoi que ce soit de SkyMall
Parcourir le catalogue de la fameuse marque Skymall est un moyen exceptionnel de passer le temps pendant un long vol, mais ne pensez même pas à commander quoi que ce soit de leur section voyage. S’il vous plaît, dites non au plus célèbre et encombrant oreiller pour avion. Ainsi qu’à son éventuelle alternative.
Et ne vous procurez pas ce dispositif-espion pour téléphone cellulaire, afin de savoir qui de vos « enfants, employés ou conjoint (e) » appellent ou textent à partir de votre téléphone… que vous n’emmenez pas lorsque vous voyagez.
Si vous prenez l’avion pour le Japon, notez que le SkyMall japonais est encore plus fou que sa version nord-américaine. Amusez-vous!
2. Votre armoire de toilette
« Un jour, ma cousine est venue nous rendre visite. Elle avait apporté plein d’articles de toilette (une gigantesque bouteille de Scope, un gros tube de dentifrice, du shampooing, du revitalisant, toutes sortes de produits capillaires, des produits nettoyants, etc.) », confie Jennifer Playford, une habituée des voyages et propriétaire d’une petite entreprise.
Sa visiteuse était-elle parée pour un voyage prolongé dans un lieu éloigné où les marques familières n’auraient pas été disponibles? Non, elle se rendait seulement à Vancouver.
Madame Playford suggère de se procurer ses produits préférés en format voyage ou de les acheter sur place.
« Ma devise est : petit et compact. Les grands formats sont à proscrire », affirme madame Playford, même s’ils sont autorisés dans les bagages enregistrés.
3. Votre oreiller
« Je n’ai jamais compris le truc de l’oreiller. Parfois, je vois des gens qui apportent des oreillers pleine grandeur et je me dis : vous êtes censé laisser votre maison derrière et non l’apporter avec vous! Les petits oreillers de cou de l’avion devraient suffire », suggère madame Playford.
D’autres soutiennent que tout ce dont on a vraiment besoin, c’est d’un capuchon. Roulez-le comme un oreiller, ou utilisez-le pour y envelopper l’oreiller rudimentaire fourni dans l’avion.
4. La Monkey Strap
Pourquoi acheter un sac à dos ergonomique, quand vous pouvez plutôt attacher votre valise dans votre dos. Quoi? Quoi? C’est exact. Sanglez votre sac avec cet « adaptateur de valise » et vous pouvez le porter avec des bretelles intégrées. (Ou oubliez ça et roulez simplement votre valise derrière vous, puisqu’elle a été conçue dans ce but.)
5. Un sèche-cheveux
« J’avais l’habitude de ne jamais quitter la maison sans mon lourd sèche-cheveux si malaisé à empaqueter », admet Natalie Bahadur, une voyageuse aguerrie de Toronto. « Mais jusqu’à maintenant, je n’ai pas encore trouvé d’hôtel qui ne dispose pas d’un sèche-cheveux. On en trouve un dans le plus petit des hôtels de la plus petite bourgade. C’est une autre histoire pour les auberges, mais votre hôtel aura un sèche-cheveux », assure madame Bahadur, rédactrice en chef de StyleAtHome.com.
6. Des livres de voyage empruntés
N’empruntez pas à votre beau-frère son exemplaire déchiré du guide du routard 2008 pour l’Égypte. Tant de choses peuvent avoir changé en quelques années seulement : les restaurants et les hôtels environnants, les changements au sujet de la sécurité ou des plaques tournantes de transport local. Tout cela nécessite l’achat de la dernière édition de n’importe quel guide de voyage.
« Les guides sont des outils à 25 $ qui procurent 4 000 $ d’expériences », note l’auteur de guides Rick Steeves au cours d’une intéressante discussion sur ce sujet. Investir ces 25 $ peut littéralement sauver vos vacances, de la même façon, ne pas les dépenser peut les ruiner.
7. Votre ordinateur portable
C’est le truc sur lequel je me trompe presque à chaque voyage.
Mais d’une fois à l’autre, après avoir caché mon portable dans le réfrigérateur de ma chambre d’hôtel, sous des piles de chiffons et de produits de nettoyage dans le meuble de la salle de bain et même dans le coffre-fort (qui n’est peut-être pas si sûr en fin de compte), je me suis rendu compte que je ne l’ai jamais utilisé au point de justifier le poids supplémentaire et les tracas.
Les centres d’affaires des hôtels, les cafés Internet, les iPads et les téléphones intelligents rendent les ordinateurs portables inutiles pour la plupart des voyages de loisirs.
8. Des produits de nettoyage pour voyageurs
Pourquoi traîner du détergent en format voyage ou des « cintres de voyage »?! Que vous soyez dans la cambrousse australienne, dans un pavillon au cœur d’une jungle en Amérique centrale ou dans une cabane de plage bon marché au bord de la mer d’Andaman, généralement :
1. Soit vous n’avez pas besoin de faire la lessive, parce que vous vivez dans votre bikini ou votre maillot de bain, ou que vous êtes loin de la civilisation et de ses diktats bourgeois concernant les vêtements impeccables, ou
2. Vous avez l’eau courante dans votre cabane isolée et vous pouvez laver vos vêtements avec du savon à main ou du shampooing, ou
3. Votre pavillon isolé aura – eh oui – un service de lavage-séchage (même si ce n’est pas du nettoyage à sec). Renseignez-vous sur ces cintres gonflables. Ils vous permettent d’accrocher votre chandail lavé à la main, votre chemisier de soie ou votre tricot de fibre délicate pour les sécher, sans en étirer les coutures d’épaule. Ma question : quel est l’endroit qui exige que vous soyez bien habillé, mais qui ne vous offre pas le nettoyage à sec?!