Savoir vivre sur Facebook
Facebook, c’est comme une fête: on s’échange des photos, on rit des plaisanteries des autres. Mais c’est une fête perpétuelle sans organisateur ni règles claires. Ci-dessous, quatre problèmes classiques et leur solution.
Je ne veux pas faire partie de ses amis.
Déclinez l’invitation. «Rien ni personne ne vous oblige à accepter», dit Robin Abrahams, auteure de Miss Conduct’s Mind Over Manners. Si vous n’en avez pas envie, c’est probablement pour une bonne raison. Par exemple:
- Vous ne connaissez pas l’expéditeur. «Quelqu’un qui a 1000 amis est un collectionneur», note Greg Atwan, auteur de The Facebook Book.
- Vous vous êtes perdus de vue. Vous ne voyez aucune raison de renouer avec ce camarade d’école? C’est compréhensible, affirme Judith Kallos, spécialiste de la nétiquette.
- Vous n’êtes plus ensemble. Entretenir une relation avec un ex par Internet en vaut rarement la chandelle, dit Greg Atwan. «Vous devriez exclure toute cyberrelation en divisant la collection de CD.» Si vous cliquez sur Ignorer, l’expéditeur ne sera pas avisé de votre refus. Vous pouvez aussi accepter et supprimer le nom de votre liste d’amis quelques jours plus tard.
Mes amis partagent n’importe quoi.
Vous n’avez pas envie de lire un rapport quotidien des activités de votre arrière-petit-cousin? C’est à cela que sert la fonction Masquer.
J’ai écrit un commentaire blessant.
Effacez-le, mais ne faites pas d’excuses; vous attireriez l’attention sur ce que vous voulez faire oublier.
Quelqu’un a laissé un commentaire moche sur mon mur.
Effacez-le. Le fautif comprendra.