Bien-être : découvrez le lagom
Mis à jour: Fév. 01, 2018
Après le « hygge », cet art de vivre danois qui nous promet, par de gestes simples, de maximiser notre bien-être, voilà que s’amène aussi le « lagom », une philosophie suédoise qui vise, cette fois, un meilleur équilibre.
Comment résister à tous ces mouvements venus d’un peu partout dans le monde et qui nous laissent miroiter que l’on pourrait mieux nous sentir au quotidien? Presque impossible. Surtout que ces arts de vivre prônent de simples ajustements. Il se peut qu’on souhaite essayer ou, du moins, s’en inspirer librement pour effectuer quelques changements positifs dans notre mode de vie.
- Le lagom – il faut prononcer lar-gom – provient de la Suède. Dans les librairies, de nombreux bouquins apparaissent sur le sujet comme :
- Le livre du lagom de l’auteure Anne Thoumieux /First)
- Je suis lagom des auteurs de Jonny Jackson et Elias Larsen/Guy Saint-Jean éditeur
- Lagom, le nouvel art de vivre suédois de Niki Brantmark/HarperCollins France
- Lagom : le secret suédois du bien-vivre de Lola A Akerstrom/Marabout
Mais avant de plonger dans cet univers, voici un résumé de ce qu’il prône.
L’équilibre. Les excès – et même les très positifs – ne font pas partie de ce mode de vie. Le site Letemps.ch indique que le mot « lagom » peut signer « ni trop, ni trop peu : juste assez ».
Soi et les autres. Aussi, les adeptes de ce mode de vie ont un sens du bien commun et de la communauté très développé. Il y a « nous », mais les autres aussi. Beaucoup de décisions doivent aussi refléter une certaine conscience écologique.
La pondération. Vive la juste mesure et, même un certain contrôle. Les débordements, il faut éviter.
L’ordre. Chaque chose à sa place : tel pourrait être un précepte du lagom. Et pas question de tout ranger autour de nous, mais aussi « en » nous.
La modestie. Au lieu de tout vouloir et d’envier, on s’exerce à revoir nos attentes et à développer une certaine forme de gratitude. On apprécie ce qu’on a et on ne cherche pas à impressionner les autres.
La sérénité. De ce mouvement se dégagent un certain calme et une douce sérénité. En fait, le lagom fait contrepoids au mouvement chaotique de nos sociétés où tout va vite.
Les rituels « slow ». Comme pour le hygge, les rituels sont importants dans le concept du lagom. Il faut prendre le temps de vivre et de s’offrir des moments de plaisir.
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Source : Le Temps, FemininBio, Cosmopolitan.fr
