Trop de femmes meurent encore du cancer du col de l’utérus
La Société canadienne du cancer estimait qu’en 2020, environ 1 350 Canadiennes recevraient un diagnostic de cancer du col de l’utérus et qu’il serait mortel pour 410 d’entre elles.
«Ces chiffres devraient être beaucoup plus bas puisque nous disposons d’un vaccin comme méthode préventive et d’un test de dépistage qui peut repérer la maladie à un stade précoce», dit la Dre Kathy MacLaughlin, spécialiste en médecine familiale à la Clinique Mayo de Rochester, dans le Minnesota.
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Le test Pap a permis de réduire les risques de mourir du cancer du col de l’utérus
Le test de Papanicolaou (Pap) est un examen de routine qui consiste à prélever par frottis cytologique un échantillon des cellules du col afin de détecter des changements avant que le cancer ne se développe – ou de repérer celui-ci à un stade précoce, plus facile à guérir.
Depuis l’introduction du test Pap dans les années 50, l’incidence du cancer du col invasif a fortement décliné: le nombre de cas et les taux de mortalité ont baissé de plus de 60% entre 1955 et 1992, selon les Instituts nationaux de la santé (NIH).
Malheureusement, ces taux ont stagné au cours des 15 dernières années, selon la Société américaine du cancer.
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Vous n’avez pas à faire un test Pap tous les ans
Pour les femmes de 21 à 65 ans, les spécialistes recommandent un test Pap tous les trois ans. «C’est ce qui est recommandé: un dépistage de routine tous les trois ans par le test Pap garantit de repérer les changements précancéreux à un stade suffisamment précoce pour les surveiller ou les traiter», dit Kathy MacLaughlin.
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Les taux de recours aux tests de dépistage du cancer du col de l’utérus restent trop bas
En 2016, moins des deux tiers des femmes âgées de 30 à 65 ans étaient à jour sur le plan du test de dépistage du cancer du col de l’utérus, d’après une étude du Journal of Women’s Health.
D’après la Dre MacLaughlin, auteure de l’étude, ce pourcentage est encore plus faible chez les femmes de 21 à 29 ans.
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On dispose d’un vaccin qui peut prévenir la plupart des cancers du col de l’utérus
Le VPH, abréviation de virus du papillome humain, est le virus transmissible sexuellement qui cause les condylomes (verrues génitales). Il peut causer le cancer du pénis chez l’homme et le cancer du col de l’utérus, du vagin et de la vulve chez la femme.
Hommes et femmes peuvent aussi développer un cancer oral, anal ou rectal causé par l’infection au VPH. Le VPH englobe en fait un groupe de plus de 200 virus extrêmement communs, et la Food and Drug Administration (FDA) a approuvé aux États-Unis trois sortes de vaccins pouvant prévenir l’infection causée par les types de virus responsables de 70% des cancers du col de l’utérus – et un pourcentage encore plus élevé d’autres cancers causés par le VPH, d’après les chiffres de la Société américaine du cancer (ACS).
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Les vaccins contre le VPH sont administrés en une série de deux ou trois injections
Les Centres pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC), aux États-Unis, recommandent que les enfants de 11 ou 12 ans reçoivent deux injections de vaccin contre le VPH avec un intervalle de 6 à 12 mois. Il faudra une troisième dose aux adolescents qui reçoivent leurs deux injections à moins de cinq mois d’intervalle. Les jeunes de plus de 14 ans auront besoin de trois injections réparties sur six mois.
Le vaccin en trois doses est aussi recommandé aux personnes de 9 à 26 ans souffrant d’un problème de santé qui met à rude épreuve le système immunitaire.
Le vaccin contre le VPH n’est plus seulement un traitement pour les enfants, les adolescents et les milléniaux
La FDA a récemment recommandé le vaccin contre le VPH aux hommes et aux femmes âgés de 27 à 45 ans. Si le moment optimal pour recevoir le vaccin est le début de la vie sexuelle active, on peut tout de même tirer bénéfice du vaccin à un âge plus avancé, note la Dre MacLaughlin.
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Le VPH ne cause pas toujours le cancer
Le VPH est un virus très commun. D’après les CDC, environ 14 millions de personnes, y compris des adolescents, sont infectées chaque année aux États-Unis. La plupart d’entre elles ne développeront jamais de symptômes et l’infection disparaîtra d’elle-même, souligne MacLaughlin.
«En revanche, c’est l’IST la plus répandue. Toute personne sexuellement active y sera exposée, mais la majeure partie de ces gens n’aura pas de problèmes. Chez seulement un petit pourcentage, le VPH va rester et affecter la santé.»
En dessous de 30 ans, les femmes n’ont pas besoin d’un test de dépistage du VPH
Les femmes de moins de 30 ans n’ont pas besoin du test Pap-VPH combiné: le VPH est si fréquent à cet âge que le dépistage est superflu, selon la Société canadienne du cancer et d’autres associations. Cependant, ce test peut être utilisé dans ce groupe d’âge après un test Pap au résultat anormal. Pour certaines femmes de 30 ans et plus, le test combiné est à privilégier.
Discutez avec votre médecin pour être sûre que vos tests de dépistage du cancer du col utérin sont appropriés à votre âge et à vos facteurs de risque personnels.
Trop peu d’enfants sont vaccinés contre le VPH
Les vaccinations contre le VPH ont beau avoir augmenté ces dernières années, elles sont encore trop peu nombreuses, selon un rapport du President’s Cancer Panel. Ses chiffres indiquent que le pourcentage d’enfants ayant débuté la série d’injections contre le VPH a augmenté de 5% par année en moyenne entre 2013 et 2017 – et pourtant, moins de la moitié des adolescents étaient complètement vaccinés en 2017.
Selon la Dre MacLaughlin, de nombreux parents éprouvent un malaise face à ce vaccin : le VPH est transmissible sexuellement et ils ont de la difficulté à envisager une expérience sexuelle chez leur enfant de 11 ans. Mais c’est justement là le point essentiel: «Mieux vaut que l’injection soit donnée avant que la personne devienne sexuellement active. C’est à ce moment-là que le corps peut construire les réponses immunitaires les plus robustes pour résister au VPH.»
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Les garçons devraient aussi se faire vacciner contre le VPH
On recommande le vaccin contre le VPH pour les filles et les garçons. Mais les parents de garçons adolescents déclarent, dans un cas sur cinq, ne pas avoir l’intention de vacciner leur fils parce que cela ne leur a pas été conseillé, en comparaison d’un cas sur 10 chez les parents de filles adolescentes, note la Dre Anna Beavis, titulaire d’une maîtrise en santé publique, chercheure en gynéco-oncologie à l’Université John Hopkins.
« En général, la raison la plus fréquente pour laquelle les parents ne font pas vacciner à la fois les garçons et les filles, c’est la perception erronée que le vaccin contre le VPH n’est pas nécessaire », souligne Anna Beavis.
Les aînées ne sont pas épargnées par le cancer du col de l’utérus
Une femme de plus de 65 ans sur cinq reçoit un diagnostic de cancer du col, d’après une étude présentée à l’assemblée annuelle de la Société américaine d’oncologie gynécologique (Society of Gynecologic Oncology).
Malgré cela, la Société américaine du cancer, la Société américaine de pathologie clinique, la Société américaine de colposcopie et de pathologie du col de l’utérus recommandent toutes d’arrêter le dépistage du cancer du col quand les patientes ont atteint l’âge de 65 ans.
«Nos données montrent qu’une proportion considérable de femmes reçoivent un diagnostic de cancer du col de l’utérus après 65 ans, ce qui suggère soit que l’âge limite du dépistage était fixé trop tôt pour ces patientes, soit qu’elles n’ont jamais été dépistées », note dans un communiqué de presse la Dre Sarah Diley, auteure de l’étude, titulaire d’une maîtrise en santé publique, chercheure en gynéco-oncologie de l’Université d’Alabama à Birmingham. «Les associations professionnelles devraient envisager de fixer plus tard l’âge limite du test de dépistage pour améliorer le pronostic chez les femmes plus âgées.»
On peut ne présenter aucun symptôme du cancer du col de l’utérus – jusqu’à ce qu’il soit trop tard
Une fois que les symptômes se seront manifestés, il est probable que le cancer du col aura commencé à se répandre. Selon l’American Cancer Society, les symptômes du cancer du col à un stade avancé peuvent comprendre des saignements vaginaux anormaux (après une relation sexuelle, par exemple), des écoulements vaginaux inhabituels et de la douleur pendant les relations sexuelles.
Autres signes: un besoin urgent ou fréquent d’uriner, de la fatigue et une perte de poids inexpliquée. Ces symptômes peuvent avoir de nombreuses causes non cancéreuses, mais il est toujours préférable de les faire vérifier par votre médecin.
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Le tabagisme fait empirer la situation
D’après la Dre MacLaughlin, «la cigarette réduit les chances de votre corps de rester assez en forme pour lutter de lui-même contre VPH». Fumer fait d’ailleurs partie des habitudes qui peuvent augmenter les risques de développer un cancer du col de l’utérus.
Le stérilet peut prévenir le cancer du col
Ce dispositif intra-utérin (DIU) peut réduire d’un tiers les risques de cancer du col utérin, selon un rapport publié dans le bulletin Obstetrics & Gynecology.
Les chercheurs pensent que le stérilet peut déclencher une réaction immunitaire éliminant le VPH. Les stérilets à protection de longue durée ont d’autres avantages sur les pilules contraceptives – à part celui de n’avoir presque jamais à se soucier de tomber enceinte, puisqu’ils diffusent une hormone de façon continue.
Le traitement du cancer du col de l’utérus s’améliore
Aujourd’hui, le taux de survie après cinq ans des femmes ayant reçu un diagnostic de cancer du col frôle les 75%, d’après les chiffres des National Institutes of Health. Dans la plupart des cas, le traitement associe la radiothérapie et la chimiothérapie.
Il existe des facteurs de risque du cancer du col de l’utérus
Un système immunitaire déficient, des premières relations sexuelles précoces, des partenaires sexuels multiples, la prise de la pilule contraceptive depuis plus de cinq ans et la séropositivité au VIH : tous ces facteurs augmentent le risque d’avoir un cancer du col de l’utérus, souligne la Dre Stephanie V. Blank, directrice de la division de gynéco-oncologie au Système de santé de Mount Sinaï, de la Faculté de médecine de Mount Sinaï.
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Les taux de dépistage varient en fonction de l’origine ethnique
Aux États-Unis, on estimait qu’en 2016, le pourcentage femmes afro-américaines à jour sur le plan du dépistage du cancer du col était inférieur de 50% à celui des femmes blanches; pour les femmes d’origine asiatique, ce pourcentage était inférieur de presque 30% à celui des femmes blanches, selon l’étude de la Dre MacLaughlin. «Ces disparités en fonction de l’origine ethnique sont particulièrement préoccupantes», souligne-t-elle.
Le cancer du col de l’utérus frappe inégalement
Aux États-Unis, les femmes latino-américaines seraient plus à risques de développer le cancer du col de l’utérus. Elles sont suivies par les Afro-Américaines, les Asiatiques, les femmes originaires des îles du Pacifique et les femmes blanches. Par contre, les Amérindiennes et les autochtones de l’Alaska auraient moins de risques de développer un cancer du col, selon l’American Cancer Society.
C’est d’autant plus inquiétant qu’une étude de la Clinique Mayo a conclu que les femmes afro-américaines et asiatiques auraient moins de chances que les femmes blanches d’être dépistées pour le cancer du col.
Il existe plus d’un type de vaccin contre le VPH
Aux États-Unis, la FDA a approuvé trois sortes de vaccins contre le VPH: le Gardasil, le Gardasil 9 et le Cervarix, également autorisés et disponibles au Canada. Les trois vaccins préviennent l’infection par les VPH à haut risque, qui causent environ 70% des cancers du col utérin.
Le Gardasil prévient aussi l’infection par les types de VPH qui causent 90% des condylomes. Le Gardasil 9 prévient l’infection par ces mêmes types de VPH – avec en plus une protection contre cinq autres virus susceptibles de causer aussi le cancer.
Depuis mai 2017, le Gardasil 9 est le seul vaccin contre le VPH utilisé aux États-Unis, le Cervarix et le Gardasil restant en usage dans d’autres pays, d’après l’Institut national américain du cancer (NCI). Selon la Dre Stephanie Blank, «ces vaccins offrent une incroyable opportunité – celle de prévenir un cancer potentiellement mortel».
L’intelligence artificielle pourrait permettre un jour de diagnostiquer le cancer du col de l’utérus
Un algorithme informatique qui analyse les images numériques du col de l’utérus peut identifier avec précision les changements précancéreux qui nécessitent une surveillance médicale. «Nos conclusions montrent qu’un algorithme d’apprentissage profond peut utiliser les images recueillies pendant un examen de routine de dépistage du cancer du col pour identifier des modifications précancéreuses qui, si elles restent non traitées, peuvent se transformer en cancer», note l’auteur de l’étude, le Dr Mark Schiffman, titulaire d’une maîtrise en santé publique, membre de la division de génétique et d’épidémiologie du cancer du NCI (National Cancer Institute).
«En fait, l’analyse informatisée des images s’est révélée plus performante pour l’identification d’un état précancéreux qu’un spécialiste humain faisant au microscope l’examen cytologique de tests Pap. Cette nouvelle méthode pourrait être fort appréciable dans les régions où il existe une pénurie de professionnels des soins de santé.»
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Un récent test de dépistage pourrait détrôner les tests Pap et VPH
D’après une étude menée par des chercheurs de l’Université Queen Mary de Londres, un test de dépistage inédit a permis de repérer tous les cas de cancer du col utérin dans un échantillon de 15 744 femmes, surpassant à la fois le frottis cervical du test Pap et le test de dépistage du VPH – et ce, à un coût moindre.
Le nouveau test examine les profils épigénétiques supposés – les mécanismes biologiques qui activent ou désactivent les gènes. En comparaison, le test de dépistage du VPH permet seulement de dire si une femme a été infectée par ce virus potentiellement oncogène, sans évaluer ses risques réels de cancer.
Ainsi, le nouveau test peut prédire plus efficacement quelles femmes infectées par le VPH vont développer un cancer du col de l’utérus au cours des cinq prochaines années. «Ce nouveau test surpasse tout ce qui est offert aujourd’hui au Royaume-Uni, mais il faudra sans doute au moins cinq ans pour le mettre en place», notent les auteurs de l’étude.
Un déséquilibre de la flore bactérienne vaginale peut induire un risque de cancer du col de l’utérus
Les femmes souffrant d’un cancer du col ou d’un état précancéreux ont une flore bactérienne vaginale différente des femmes au col utérin sain, selon un article paru dans Scientific Reports.
Une équipe de chercheurs dirigée par Melissa Herbst-Kralovetz, du Centre du cancer de l’Université de l’Arizona, titulaire d’un doctorat et professeure adjointe au Collège de médecine de l’Université de l’Arizona à Phoenix, a examiné 100 femmes pré-ménopausées pour trouver des liens entre la flore bactérienne vaginale et le cancer du col. « Chez les patientes cancéreuses et pré-cancéreuses, les lactobacilles (de bonnes bactéries) sont remplacés par un mélange de mauvaises bactéries », note Melissa Herbst-Kralovetz.
Au fur et à mesure que les populations de lactobacilles déclinent, les anomalies du col de l’utérus deviennent plus graves.
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Le risque de mourir d’un cancer du col de l’utérus est plus élevé que les femmes le réalisent
Le taux de décès dus au cancer du col de l’utérus est en fait plus élevé qu’on ne le pense. D’après une étude de l’École de santé publique Johns Hopkins Bloomberg à Baltimore, le taux d’origine a été mal évalué. «Les premières estimations ne tenaient pas compte des hystérectomies», dit l’auteure de l’étude, Anne F. Rositch, professeure en épidémiologie à la Johns Hopkins Bloomberg School of Public Health.
Quoique cela ne signifie pas qu’il y ait plus de femmes décédant du cancer du col qu’on ne le pensait, cela indique par contre que la probabilité d’en mourir chez les femmes à risque doit être revue à la hausse. Pour les femmes blanches aux États-Unis, les nouvelles estimations sont de 4,7 femmes sur 100 000, soit une augmentation de 47% par rapport à l’estimation précédente de 3,2; pour les Afro-Américaines, le taux est de 10,1 pour 100 000, une augmentation de 77% par rapport à l’estimation précédente de 5,7.
La probabilité de mourir d’un cancer du col de l’utérus est plus élevée chez les Afro-Américaines
L’étude de Johns Hopkins a aussi montré qu’aux États-Unis, le taux de décès par le cancer du col utérin est deux fois plus élevé chez les femmes noires que chez les femmes blanches. «Nous possédons déjà des données, au niveau national et au niveau des États, suggérant que les femmes noires ont moins de chances de recevoir un traitement approprié au moment du diagnostic initial [du cancer du col utérin]. Cependant, il nous reste à déterminer les raisons préjudiciables expliquant les différences de soins pour être en mesure de remédier à cette disparité dans les taux de mortalité», dit la Dre Rositch. Si vous êtes Afro-Américaine, assurez-vous d’obtenir des tests de dépistage réguliers.
Votre poids peut influencer votre risque d’avoir un cancer du col de l’utérus
Les femmes en surpoids et les obèses auraient un risque plus élevé de cancer du col, en comparaison des femmes au poids normal. Cela s’explique en partie par le fait que les tests de dépistage du cancer du col utérin sont moins efficaces sur les femmes en surpoids, selon une étude parue dans le Journal of Clinical Oncology.
La sensibilité du test de dépistage du VPH, comme celle du test Pap, peut être compromise chez les patientes en surpoids et obèses, et les médecins peuvent ne pas être en mesure de visualiser assez clairement le col de l’utérus pour décider de la nécessité d’une biopsie. Si vous êtes en surpoids ou obèse, peser moins lourd sur la balance aura de nombreux avantages pour votre santé.
Vous êtes en surpoids ou souffrez d’obésité? Voyez comment retrouver un poids santé.
Le cancer du col utérin est l’un des motifs de l’hystérectomie
Un médecin peut décider d’une hystérectomie (ablation chirurgicale de l’utérus) pour de nombreuses raisons, et le cancer du col utérin est l’une d’elles.
L’hystérectomie fait partie des actes médicaux qui comportent des dangers pour la santé.
De faibles taux de vitamine D peuvent jouer un rôle dans le développement d’un cancer du col utérin
Une chute du niveau de vitamine D pourrait faire augmenter chez une personne les risques de toute une gamme de problèmes de santé, y compris le cancer du col de l’utérus.
Dans une étude, les femmes avec des taux de vitamine D plus bas avaient des risques plus élevés d’être infectées par la forme la plus virulente du VPH. La vitamine D est appelée « vitamine du soleil », car notre corps la produit sous l’effet de la lumière solaire.
Si vous vivez dans un climat aux longs hivers, discutez de la prise de suppléments avec votre médecin. Soyez à l’affut de ces signes d’une carence en vitamine D.
Le cancer du col de l’utérus n’est pas une fatalité
Bien au contraire, c’est un cancer qui peut être prévenu. « Grâce au vaccin contre le VPH et aux options de dépistage améliorées qui nous permettent de déceler les anomalies avant qu’elles ne se transforment en cancer, nous avons les outils pour éradiquer le cancer du col utérin », dit la Dre Blank. « Il est essentiel pour nous de les utiliser de manière appropriée. »
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