À qui s’adresser?
Commencez par consulter un pédopsychiatre, il sera souvent en mesure de juger de la nécessité de poursuivre un traitement. Le Centre de pédopsychiatrie du CHUQ est un établissement où vous trouverez de l’aide, mais il existe des filières de pédopsychiatrie dans d’autres hôpitaux québécois. N’ayez pas peur – si votre enfant est diagnostiqué comme bipolaire, ce n’est pas la fin du monde. Et les traitements disponibles de nos jours peuvent faire des miracles.
Comment vivre cela au quotidien?
L’organisme REVIVRE vient en aide aux personnes atteintes de troubles mentaux de toutes sortes, troubles bipolaires compris. Vous trouverez sur leur site des conseils pratiques, des liens, ainsi que des renseignements utiles.
Et le reste de la famille?
Il est parfaitement possible d’intégrer un enfant bipolaire dans la vie familiale, même si cela présente parfois un certain nombre de défis pour ses proches. La Fédération de familles et amis de la personne atteinte de maladie mentale (FFAPAMM) vient en aide à ceux qui se sentent menacés ou qui ont besoin de comprendre tout simplement. Vous trouverez sur leur site un « volet jeunesse » – très utile pour sensibiliser les jeunes aux personnes atteintes de troubles envahissants de comportement, que ce soit leurs camarades de classe ou un de leurs frères ou sœurs.
En savoir plus…
• Ellie Hantouche: Cyclothymie, troubles bipolaires des enfants et adolescents au quotidien
• Tous ensemble : les effets de la dépression et de la maniaco-dépression sur les familles, un livret d’information publié par Santé Canada et disponible en ligne en version pdf.