Vivre avec passion pour trouver le bonheur
Insatisfaite de votre vie? Aimer la vie peut être possible qu’à partir du moment où vous trouvez votre passion.
Vous avez envie de changer du tout au tout votre vie? Cela pourrait avoir un lien avec vos hormones, affirme la Dre Susan Biali, coach de vie et de santé de Vancouver.
Quand une femme atteint la périménopause, après l’âge de 35 ans, un changement des taux d’estrogènes et de progestérone peut susciter un plus grand souci de soi. « Je le constate régulièrement; les femmes commencent à penser davantage à elles et se concentrent moins sur les besoins des autres », dit-elle.
La Dre Biali, qui a abandonné la médecine pendant un certain temps pour vivre sa passion du flamenco, croit qu’il est essentiel de trouver le moyen de vivre sa passion, sinon on risque de ne jamais se sentir tout à fait comblée. « Il n’y a rien d’égoïste à suivre son cœur », déclare-t-elle. « De fait, c’est tout à fait le contraire, car cela finit souvent par encourager les autres à réaliser leurs propres rêves. »
Pour découvrir ce qui vous passionne vraiment, elle conseille d’observer les gens de votre entourage qui font des choses qui vous semblent stimulantes. « Ensuite, planifiez ce que vous devez faire pour y arriver vous aussi, en commençant par ce que vous pouvez faire immédiatement, dit la Dre Biali. Chaque réussite d’une étape de votre plan vous permet d’enrichir vos compétences, vous rapproche de votre rêve et vous permet de vivre des moments de bonheur. »
Besoin d’un coup de pouce pour réaliser vos rêves? The Crossroads of Should and Must: Find and Follow Your Passion d’Elle Luna (23 $) pourrait vous aider. Ce livre charmant donne à ses lecteurs la permission et la motivation de faire des choix de vie qui importent pour eux.
Il existe de nombreux récits de vie qui dénotent le courage avec lequel des personnes relèvent des défis accaparants pour mener une vie qui leur ressemble vraiment. Sélection a mené des entrevues auprès de quelques femmes canadiennes ayant opté pour des choix de vie qui risquent de vous inspirer.
Après avoir abandonné leur train-train quotidien, elles ont emprunté un chemin, non sans crainte, pour réaliser leur rêve le plus cher. Voir ci-dessous pour les témoignages de cinq femmes qui ont décidé de vivre avec passion.
– « J’ai quitté mon emploi pour voyager toute une année »
Quand Gloria Vidovich a participé à un weekend de ressourcement en 2012, elle ne s’imaginait pas que ce serait l’étincelle qui lui ferait entreprendre un périple d’une année en Asie du Sud-Est et en Australie. Cliquer ici pour lire l’histoire de Gloria.
– « J’ai quitté le Canada pour aller vivre au Costa Rica »
Judy Bonnell est le genre de femme qui n’aime pas analyser en profondeur toutes ses décisions. Il y a 8 ans, son mari et elle étaient en vacances au Costa Rica lorsqu’ils ont vu une maison partiellement finie à vendre dans une des régions du monde les plus réputées quant à la qualité de vie. Ils se sont lancés dans l’aventure et l’ont achetée. Cliquer ici pour lire l’histoire de Judy.
– « Nous avons tout risqué pour nous lancer en affaires »
Les propriétaires de Hopson Grace ont dû vendre leur maison et quitter des emplois bien rémunérés pour réaliser leur rêve d’équilibre entre travail et vie personnelle, ce que permettent la souplesse et la liberté de l’entreprenariat. Cliquer aussi pour en apprendre davantage sur les partenaires de Hopson Grace, Martha Grace McKimm et Andrea Hopson.
– « J’ai ouvert mon propre café dans la cinquantaine »
Pour Elizabeth Aikenhead, propriétaire du Our Lucky Stars Café, le travail autonome s’est traduit par l’achat d’une propriété de trois acres dotée d’une piscine creusée à Warkworth, Ontario. « J’ai vendu ma maison à Toronto et j’ai pu acheter cette grande maison de ferme et un café au village », déclare l’ex-productrice télé. « J’ai toujours eu envie d’ouvrir une boutique d’alimentation parce que j’adore faire la cuisine et recevoir, mais je n’ai jamais imaginé que je dirigerais un restaurant. » Lire l’histoire d’Elizabeth. *** L’article sera publié le 25 février ***
– « J’ai finalement écrit un livre – à 68 ans »
Plum Johnson avait 68 ans quand elle a écrit son premier livre. Elle y relate ce qu’elle a vécu après la mort de sa mère quand elle a vendu la maison où elle avait grandi à Oakville (Ontario) et fait le tri de tout son contenu. Lire l’histoire de Plum en cliquant ici. *** L’article sera publié le 26 février ***