S’aimer tel qu’on est
Pour Rachelle Claveau, offrir à ses enfants des collations qui avaient du goût, sans contenir trop de sucre, a toujours été un véritable un défi. Ancienne blogueuse de Rachelle et Coco – un blogue où elle a réalisé de nombreuses expérimentations alimentaires – Rachelle avait déjà de l’expérience en cuisine avant de lancer le projet des biscuits B.lovd. Pandémie oblige, elle a passé davantage de temps à la maison avec ses filles, Maeva et Lola, l’année dernière, en télétravail. Une situation qui a modifié ses habitudes.
C’est en décembre que le projet des biscuits porteurs d’un message d’amour s’est imposé: «Nous vivons constamment sous le poids de cette culture de performance: se comparer, être en compétition, se dire qu’on a besoin d’être plus belle, d’être plus intelligente, plus en forme, plus performante au travail, d’être une meilleure mère… Je me suis dit qu’il était primordial de s’aimer et de s’accepter comme on est. Parce que sinon, on est toujours dans le doute sur sa valeur intrinsèque.»
Rachelle Claveau décide d’utiliser ce qu’elle aime – faire des biscuits – et d’y ajouter des messages significatifs pour l’estime de soi. Et c’est ainsi que les biscuits porteurs de messages sont nés. «J’en ai parlé autour de moi: mes filles trippaient sur le projet, et tranquillement pas vite… ça s’est réalisé. J’en ai aussi parlé avec une équipe de création chez Publicis qui m’a aidé à développer le design et les messages. Et j’ai aussi travaillé avec une petite firme pour faire mon site web.»
La recette du bonheur
En faisant plusieurs essais, Rachelle Claveau a développé ses recettes de biscuits, mais pour mettre en place toutes les opérations et la préparation des biscuits elle s’est associée avec Gabriella, une finissante de l’Institut de tourisme et d’hôtellerie du Québec (ITHQ) avec qui elle travaille depuis décembre dernier. Gabriella apporte son soutien et son expertise pour préparer les biscuits et pour mettre en place les protocoles, l’approvisionnement et les autres tâches reliées à la production des biscuits. «J’ai d’abord fait beaucoup de tests de mon côté pour arriver à la texture que je voulais – sans utiliser du sucre raffiné – et j’ai finalement élaboré mon biscuit de base, à partir duquel je peux travailler différentes versions. Avec Gabriella, nous travaillons à partir de cette base».
Les biscuits sont offerts en trois catégories: Classique, Passionné et Junior, en version française et anglaise. «Si tu achètes une boîte de biscuits pour ton voisin ou ton employeur, versus ta meilleure amie – qui vit peut-être un moment difficile – tu ne souhaites pas retrouver les mêmes genres de messages. Même chose avec les enfants: on ne souhaite pas mettre des messages trop philosophiques dans leur boîte à lunch. C’est pour ça qu’on a développé trois types de messages, que les gens sur la plateforme peuvent choisir.»
Le secret de son énergie? Il y a certainement une part de cette belle façon de voir la vie – prendre soin de soi, écrire des mots positifs aux gens qui nous entourent, partager – qui est partie intégrante de Rachelle Claveau. Et cette générosité qui fait d’elle une personne incroyablement vivante et inspirante! «En fait j’ai toujours eu énormément d’énergie, je suis quelqu’un qui se lève extrêmement tôt: j’ai réalisé toute la recherche et le travail de B.lovd entre 4h et 8h le matin. Ensuite, je commence à travailler vers 8h et la soirée, je la réserve pour ma famille. Et je recommence souvent à travailler un peu plus tard. Je fais de la méditation tous les jours (au minimum une demi-heure) et je m’entraîne. Et j’ai toujours besoin que ça bouge… je ne sais pas faire autrement!» confie celle qui pensait à ce projet depuis plusieurs années déjà.
Savoir s’entourer
Comme Rachelle Claveau le fait dans sa vie comme présidente d’une agence de publicité, le secret c’est aussi de savoir s’entourer: «pour chaque volet du projet, je suis allée chercher l’expertise chez des professionnels qui ont su m’aider à avancer.» Par exemple, elle pense à Gabriella, finissante de l’ITHQ, qui fait partie de son équipe depuis le mois de décembre. «Avec tout le monde qui a été impliqué dans ce projet, il y avait toujours quelqu’un qui encourageait les autres dans les moments de doute et de ralentissement, comme pour dire: ‘’On lâche pas!’’. Ensemble, on est arrivés.»
Et le succès est au rendez-vous. De nombreux messages sont envoyés sur les plateformes de B.lovd par les gens qui ont reçu les biscuits ou qui les ont achetés. Les gens avaient envie de ça, d’avoir la possibilité de dire de belles choses, de dire qu’on aime, de se rappeler à nous-mêmes qu’on s’aime, et qu’on est correct. Pas besoin d’être quelqu’un d’autre ou d’être meilleur… «On peut s’aimer comme on est, et moi je suis contente parce que je sentais le besoin d’en parler et je découvre que les gens sont contents qu’on en parle.»
Et les biscuits dans tout ça…
En ce moment, les biscuits sont disponibles uniquement en ligne sur le site: B.lovd. Il en coûte 17$ pour une boîte de 8 biscuits, mais ce sont bien plus que de simples biscuits: lorsqu’on est invité chez les gens, c’est une excellente idée d’apporter une ou deux belles boîtes de biscuits au lieu du traditionnel gâteau. Il y a de quoi épater la galerie!
Mme SB – qui désire garder l’anonymat – menait une vie active avant la tombée du diagnostic du mésothéliome pleural malin non résécable (le cancer lié à l’exposition à l’amiante) dans sa vie.
C’était une femme en santé qui faisait son jogging presque tous les soirs et qui portait une attention particulière à son alimentation. En décembre dernier, quelques symptômes font surface, dont une toux persistante et des maux de dos. Au moment des douleurs, Mme SB attribuait les maux de dos au télétravail. Elle est donc traitée pour une pneumonie. Après une semaine de prise d’antibiotiques et la persistance des symptômes, la femme de 57 ans passe une radiographie qui révèle bien plus qu’une pneumonie.
Au début du mois de janvier vient subitement une perte d’appétit et des douleurs de plus en plus intenses au dos et à la ceinture abdominale. Mme SB entre à l’hôpital, où les médecins retirent plusieurs litres d’eau de son poumon. «À ce moment, on se demandait si c’était un cancer du poumon, un cancer de la plèvre ou un cancer lymphatique», explique-t-elle. Sans connaître tout à fait la nature de ses maux, l’équipe médicale lui dit que sa condition est avancée. Une biopsie effectuée à la mi-janvier révèle finalement que la patiente est atteinte au stade 3 du cancer lié à l’exposition à l’amiante.
Pensez à ajouter les meilleurs aliments anticancer à vos repas.
«C’était comme une incompréhension quant au mode de vie que je menais. C’était un peu une injustice…Pourquoi moi? Je ne comprenais pas», avoue Mme SB. En pleine pandémie, la femme doit annoncer à ses proches son diagnostic et le tout, au téléphone. «Et puis toute l’insécurité de ce qui m’attendait, l’insécurité financière, la mort, la peine… on m’avait déjà annoncé que je serais probablement déclaré invalide. En peu de temps, tout s’effondrait», souligne-t-elle.
Lorsque la patiente rencontre son premier médecin traitant, on lui annonce qu’en plus d’être au stade 3, la maladie n’est pas traitable et est incurable. Elle suit alors 5 traitements de radiothérapie pour atténuer ses douleurs, qui se font plus vives. La douleur l’empêche de fonctionner: «J’avais une perte d’appétit complète et la seule façon de me soulager était la morphine et les Tylenol», dit-elle.
Mme SB fait partie du 20% des personnes diagnostiquées avec le cancer lié à l’exposition à l’amiante sans jamais avoir eu d’exposition prolongée ou prononcée. D’autant plus que certaines personnes ayant été en présence d’amiante pour une longue durée ne seront jamais affligées de la maladie.
Malgré les traitements de radiothérapie, Mme SB est en fauteuil roulant, incapable de marcher ou de s’habiller sans assistance. Elle a alors recours à l’immunothérapie comme nouvelle alternative.
«Après le troisième traitement, c’est-à-dire après avoir reçu un traitement d’immunothérapie double, puis deux simples, la radiographie indiquait que la masse s’était résorbée de moitié», dit Mme SB, sachant qu’elle n’était pas guérie pour autant malgré son progrès. Elle avoue avoir appris récemment que, sans les traitements d’immunothérapie, son espérance de vie n’était que de trois mois.
À noter que le cancer lié à l’exposition en est un qui développe rapidement des métastases chez les personnes affligées, et que Mme SB ne fait pas l’exception. Ses médecins et elle espèrent que l’immunothérapie guérira aussi ce problème.
Depuis le début des traitements d’immunothérapie, trois semaines se sont écoulées et la masse a presque disparu. Mme SB subit tout de même les symptômes de sa condition au quotidien.
Quoiqu’elle affirme ne plus avoir la même concentration qu’avant, la dame n’a plus besoin de longues siestes en après-midi pour être capable de fonctionner; elle peut vaquer à un semblant de vie normale. «Je me considère déjà bien chanceuse de répondre adéquatement à ces médicaments-là. J’ai la chance d’être encore avec les miens et de faire un minimum des activités que j’aime», avoue-t-elle.
Les traitements d’immunothérapie seront administrés, si tout se déroule convenablement, pour les deux prochaines années. Mme SB s’avoue optimiste, mais prudente quant à ce que lui réserve le futur: «Je ne sais pas ce qu’il adviendra d’un horaire de travail de 5 jours. Ce que je retiens de tout ça, c’est l’importance d’aller toujours au bout de mes capacités. Je n’en guérirai jamais vraiment, mais vivre la vie au jour le jour est essentiel», affirme-t-elle positivement.
Si les mini-carottes représentent une collation de base dans votre famille, vous savez de quoi nous parlons ici. Il vous est probablement déjà arrivé, en ouvrant le sac de mini-carottes, de remarquer une substance blanche recouvrant les légumes. De quoi s’agit-il? Est-ce un signe que les carottes sont en train de se gâter ou qu’elles ne vont pas durer longtemps? Peut-on quand même les manger sans danger?
Il y a une raison toute simple pour expliquer la présence de cette substance blanche (qui est tout à fait normale soit dit en passant).
Ce truc blanc sur les mini-carottes, qu’est-ce que c’est?
Vous avez peut-être déjà entendu dire que cette substance blanche sur les mini-carottes était du chlore, mais ce n’est qu’un mythe. Il s’agit en fait d’une fine couche de pellicule provoquée par la déshydratation, qu’on appelle «rougissement» de la carotte.
Vous vous êtes surement posé la question: notre peau risque-t-elle de devenir orange si nous mangeons trop de carottes?
Comment le «rougissement» de la carotte se forme-t-il?
Selon Pol Bishop, expert en jardinage et en plantes chez Fantastic Gardeners, la pellicule blanche se forme lorsque les mini-carottes sont exposées à l’air ambiant et perdent ainsi leur humidité. «La déshydratation de la fine couche extérieure de la mini-carotte rend sa surface plus rugueuse et la lumière s’y disperse. Ce qui a pour effet de laisser des traces blanchâtres sur la carotte», explique M. Bishop. Une substance blanchâtre peut également apparaître en raison des cellules cutanées endommagées de la carotte.
Alors, pourquoi cette pellicule blanche ne se forme-t-elle que sur les mini-carottes et non sur les carottes ordinaires? «C’est parce que les mini-carottes n’ont plus leur peau protectrice qui empêche la déshydratation», explique Susan Brandt, cofondatrice et présidente de Blooming Secrets. «Les carottes de taille normale ont gardé leur peau protectrice».
Est-ce que c’est dangereux?
Non! Cette pellicule est inoffensive, c’est simplement le signe que vos mini-carottes sont déshydratées. Vous pouvez l’éliminer en lavant vos carottes. Vous pouvez également faire tremper vos carottes dans l’eau pour les réhydrater et leur redonner une belle couleur. Autre chose d’inoffensif dans votre réfrigérateur: les œufs tachés et/ou bosselés.
Est-ce un signe que les mini-carottes sont en train de se gâter?
Selon M. Brandt, le «rougissement» des carottes n’est pas un signe de détérioration, mais de déshydratation. Donc, pas d’inquiétude si par hasard vous consommez un peu de cette pellicule blanche – ce n’est pas dangereux et c’est simplement une indication qu’elles sont sèches.
Déjeuner: c’est sans doute le premier mot qui vient à l’esprit lorsqu’on pense aux œufs. Comme les œufs se préparent facilement et rapidement, ils représentent un excellent choix le matin quand le temps presse et que l’on désire se rassasier. On peut toutefois se tourner vers les œufs bien après l’heure du déjeuner pour rehausser la saveur des repas du midi et du soir. Alors que nous sommes nombreux à manger plus souvent à la maison, l’inspiration vient parfois à manquer au moment de faire la cuisine et d’essayer de nouvelles recettes. Si vous souhaitez égayer vos dîners et vos soupers, pas besoin d’aller à l’épicerie. Il suffit d’utiliser les œufs qui sont déjà dans votre frigo!
En ajoutant des œufs à des pâtes, à des wraps, à des sautés, à des soupes et à d’autres mets, vous faites du bien à votre corps. Voici cinq raisons pour lesquelles cela vaut la peine de déguster des œufs à tout moment de la journée.
- Les œufs contiennent des protéines de haute qualité. Deux gros œufs renferment 13 grammes de protéines, lesquelles permettent de régénérer les cellules de l’organisme, de fortifier les cheveux et les ongles, de développer et de conserver des muscles sains et de combattre les infections.
- Ils contribuent à réguler la glycémie. Les protéines contenues dans les œufs aident à maintenir le niveau d’énergie. On court ainsi moins de risques de subir une augmentation (ou une diminution) brusque du taux de glucose sanguin que si l’on consomme des aliments riches en glucides.
- Ils peuvent stimuler l’absorption d’éléments nutritifs par l’organisme. Lorsqu’on mange des œufs avec des légumes, les matières grasses saines contenues dans les œufs favorisent l’absorption d’importants nutriments liposolubles comme la vitamine E (pour maintenir une bonne santé et prévenir certaines maladies) et la lutéine (pour favoriser une bonne vision).
- Ils contiennent du cholestérol – dont l’organisme a besoin. Le cholestérol est nécessaire à la production d’hormones, des acides biliaires et de la vitamine D. Le cholestérol peut être produit par l’organisme ou provenir de l’alimentation. Chez la plupart des gens, les aliments ont un effet minimal sur le taux de cholestérol sanguin. Si l’on ingère plus de cholestérol provenant des aliments, l’organisme va produire moins de cholestérol pour contrebalancer (et vice-versa). Dans le cadre d’un régime alimentaire sain, la consommation d’œufs n’augmente pas le risque de maladies du cœur.
- Ils regorgent d’autres éléments nutritifs. Du fer à l’acide folique, en passant par les vitamines A, D et E, les éléments nutritifs contenus dans les œufs peuvent aider à maintenir une bonne vision, à renforcer les os, à prévenir l’anémie et à garder les nerfs et les cellules en santé.
Faites preuve de créativité dans la cuisine! Ces repas nourrissants et savoureux mettent en valeur les bienfaits des œufs – et se préparent à toute heure de la journée.
Pâtes de courgettes
Si vous souhaitez réinventer les recettes de pâtes habituelles, pourquoi ne pas opter pour des nouilles aux courgettes? Prêt en quelques minutes et comptant seulement quatre ingrédients, ce plat de pâtes de courgettes garnies d’un œuf poêlé est faible en glucides et se prépare en un tournemain quand la journée est chargée. Voir la recette.
Roulé de pain naan aux œufs tikka
Lors des soirées où vous avez un peu plus de temps, ce roulé aux œufs d’inspiration indienne assaisonné de tikka masala se taillera un franc succès. Comme il contient 28 grammes de protéines, il rassasie plus longtemps. Voir la recette.
Frittata au saumon fumé
Si la frittata ne fait pas encore partie de votre recueil de recettes, elle le devrait! Les garnitures que l’on peut y ajouter étant innombrables, on peut créer un nouveau plat à chaque fois. Pouvant être servie le midi, cette frittata crémeuse composée d’œufs, de fromage à la crème léger et de saumon fumé fond délicieusement dans la bouche. Cette recette pour deux personnes peut être doublée ou triplée quand on reçoit pour le brunch. Voir la recette.
Sauté aux tomates et aux œufs
Vous aimez les plats épicés? L’ajout de doubanjiang (une pâte de piment chili) ou de sauce chili thaï à ce sauté aux tomates et aux œufs facile à préparer lui donne du piquant. Accompagnez-le de riz pour un copieux repas du soir. Voir la recette.
Salade estivale
Rehaussez votre salade à base de laitue romaine en lui ajoutant des œufs, des haricots, des pommes de terre et du maïs. Pour un petit goût sucré, garnissez-la de framboises, de fraises ou de mûres. Voir la recette.
Pour découvrir d’autres façons exquises d’ajouter des œufs au dîner ou au souper, visitez lesoeufs.ca.
En vacances, respecter un budget signifie souvent réserver une chambre d’hôtel bon marché ou économiser sur le prix du billet d’avion. Mais en de rares occasions, les voyageurs «rebelles» aiment ramener un petit souvenir de leur chambre d’hôtel…
«Les gens volent à peu près tout ce qu’ils peuvent», a déclaré au Telegraph David Elton, partenaire de Home Grown Hotels au Royaume-Uni. «Peignoirs, cintres, linge de lit, housses de matelas, serviettes, oreillers, housses de siège de toilette – à peu près tout ce qui se trouve dans une chambre.»
Ce n’est pas parce que vous pouvez le prendre que vous devez le faire, bien sûr. Selon Travel+Leisure, il est tout à fait possible d’emporter avec soi certains articles, comme du shampoing et du revitalisant, de la lotion, des dosettes de café, des blocs de papier, des stylos, et même parfois une tasse à café.
Découvrez d’autres secrets que les hôtels ne veulent pas que vous sachiez.
Mais attention au vol de draps, d’œuvres d’art, d’appareils électroniques ou de ces peignoirs incroyablement confortables. Vous ne serez probablement pas arrêté, mais il est probable que l’hôtel vous facture l’objet volé. Certains vous inscriront même sur une liste d’interdiction de séjour, ce qui vous empêchera de réserver à nouveau une chambre dans cet établissement. En fait, la plupart des grands hôtels enregistrent désormais ce genre de clients dans une base de données informatique, et de nombreuses chaînes partagent ces données avec d’autres, rapporte NBC.
Il est facile de comprendre pourquoi ils le font. Selon l’American Hotel & Lodging Association, les objets volés peuvent coûter aux hôtels environ 100 millions de dollars par an.
La prochaine fois que vous prend l’envie de «voler» quelques articles supplémentaires dans votre chambre, tenez-vous-en aux articles gratuits tels que le papier toilette, le savon et les bouteilles de shampoing format voyage.