L’activité physique est très importante pour plusieurs raisons, et notamment parce qu’elle contribue à protéger la structure et le fonctionnement de notre cerveau à mesure que nous vieillissons.
Cela peut s’avérer essentiel pour réduire le risque de développer certaines maladies neurodégénératives, comme la maladie d’Alzheimer.
Bien que les chercheurs connaissent l’effet protecteur de l’exercice depuis de nombreuses années, la raison exacte de cet effet sur le cerveau demeurait mystérieuse. Or, une étude récente publiée dans le Journal of Neuroscience pourrait apporter un éclairage sur cette énigme. D’après ses conclusions, l’activité physique modifie l’activité des cellules immunitaires du cerveau, ce qui réduit son inflammation.
Le rôle de la microglie
Le cerveau contient une catégorie de cellules immunitaires spéciales appelées microglie, qui surveillent en permanence le tissu cérébral à la recherche de lésions ou d’infections et éliminent les débris ou les cellules mourantes. La microglie aide également à diriger la production de nouveaux neurones (cellules nerveuses du cerveau qui communiquent et envoient des messages à d’autres cellules) par un processus appelé neurogenèse, qui est lié à l’apprentissage et la mémoire.
Mais pour que la microglie puisse intervenir et faire son travail, elle doit passer d’un état de repos à un état activé. Les signaux provenant d’agents pathogènes (comme un virus) ou de cellules endommagées activent la microglie. Cela modifie leur forme et les amène à produire des molécules pro-inflammatoires, ce qui leur permet de résoudre et de réparer les dommages ou les infections.
Cependant, la microglie peut également être activée de manière inappropriée avec l’âge, ce qui provoque une inflammation chronique du cerveau et nuit à la neurogenèse. Cette inflammation pourrait expliquer pourquoi les fonctions cérébrales déclinent avec l’âge, et ces changements peuvent être encore plus graves dans le cas de maladies neurodégénératives comme la maladie d’Alzheimer.
Des études menées sur des souris et des rats de laboratoire ont montré que l’exercice physique peut contrer certains des effets néfastes de l’activation microgliale. Mais cette dernière étude a révélé pour la première fois un lien entre l’activité physique, une activation microgliale réduite et une meilleure fonction cognitive dans le cerveau humain.
Une étude sur le long terme
Les chercheurs de l’étude ont examiné 167 hommes et femmes qui ont participé au Rush Memory and Aging Project. Il s’agit d’un projet à long terme mené à l’université Rush de Chicago, qui vise à identifier les facteurs qui contribuent à la santé du cerveau des personnes âgées. Les participants ont effectué des évaluations annuelles de leur activité physique, surveillée par un traqueur portable d’activités, ainsi que des évaluations de leur fonction cognitive et de leurs performances motrices (telles que la force musculaire et la vitesse de marche).
Les participants ont également fait don de leur cerveau pour une analyse post-mortem dans le cadre de l’étude. Les chercheurs ont ainsi pu analyser les tissus cérébraux à la recherche de microglies activées et de signes de maladie dans le cerveau, tels que des vaisseaux sanguins en mauvais état ou la présence de plaques contenant la protéine bêta-amyloïde (caractéristique de la maladie d’Alzheimer).
Les chercheurs ont également examiné les niveaux de protéines synaptiques dans le cerveau des participants. Les synapses sont les minuscules jonctions entre les cellules nerveuses où les informations sont transmises, de sorte que les niveaux de ces protéines donnent une indication générale du bon fonctionnement du cerveau.
Continuer à bouger
En moyenne, les participants avaient 86 ans lorsque leur activité physique a commencé à être suivie et environ 90 ans lorsqu’ils sont décédés. Environ un tiers des participants ne présentait aucune déficience cognitive, un tiers présentait une déficience cognitive légère et un tiers avait été diagnostiqué comme souffrant de démence.
Mais l’analyse post-mortem a révélé qu’environ 60% des participants présentaient en fait des signes de la maladie d’Alzheimer dans le cerveau (comme des plaques amyloïdes). Cela montre que la présence de signes typiques de la maladie d’Alzheimer ne signifie pas nécessairement qu’une personne présentera des symptômes majeurs de déficience cognitive de son vivant.
Sans surprise, plus les participants étaient jeunes, plus ils étaient actifs physiquement et meilleures étaient leurs fonctions motrices. Dans l’ensemble, le fait d’être plus actif physiquement était associé à une activation microgliale plus faible dans certaines régions du cerveau (telles que le gyrus temporal inférieur, qui est impliqué dans la mémoire) qui sont généralement affectées au début du développement de la maladie d’Alzheimer.
Cela était vrai même lorsque les signes de la maladie d’Alzheimer étaient présents dans le cerveau. Cela suggère que l’activité physique peut réduire les effets néfastes de l’inflammation dans le cerveau, même lorsque la maladie a déjà commencé à se développer. L’étude a également montré qu’une activation microgliale plus importante était liée à un déclin cognitif plus marqué et à des niveaux de protéines synaptiques plus faibles.
Des preuves de plus en plus concluantes
Ces résultats indiquent tout d’abord que l’inflammation dans le cerveau peut affecter de manière significative la fonction cognitive et peut être un facteur de risque dans le développement de la maladie d’Alzheimer. En outre, ils montrent également que l’activité physique peut nous aider à développer la résistance du cerveau à des effets qui seraient autrement dommageables.
Bien que ces résultats soient prometteurs, l’étude présente certaines limites. L’analyse post-mortem ne peut révéler qu’un seul instantané de l’état du cerveau. Cela signifie que nous ne pouvons pas dire exactement quand les signes de la maladie se sont développés dans le cerveau des participants — et à quel moment l’activité physique aurait pu faire la différence.
De plus, l’étude n’était qu’observationnelle, c’est-à-dire qu’elle a observé les changements survenus chez les participants dans leur vie quotidienne — par opposition à une étude interventionnelle dans laquelle des personnes seraient réparties au hasard dans deux groupes différents où certains feraient de l’exercice et d’autres pas. Nous ne pouvons donc pas conclure avec certitude que l’activité physique a directement causé les changements observés dans le tissu cérébral et la fonction cognitive. Ces résultats n’expliquent pas non plus le mécanisme par lequel l’exercice induit ces effets.
Cette étude ajoute néanmoins du poids à l’ensemble des preuves de plus en plus nombreuses que l’activité physique peut protéger la santé et les fonctions du cerveau, même à un âge avancé. Le fait d’être actif tout au long de notre vie est susceptible de nous donner de meilleures chances de prévenir l’apparition de la maladie d’Alzheimer et d’autres affections neurodégénératives, ce qui nous aidera à vivre longtemps, en bonne santé et de manière autonome.
Áine Kelly, Professeure en Physiologie, Trinity College Dublin
Cet article est republié à partir de The Conversation sous licence Creative Commons. Lire l’article original.
Ça y est! Voici le guide étape par étape pour faire cuire la dinde de Noël la plus juteuse, la plus croustillante et la plus dorée que vous ayez jamais vue. La cuisine laboratoire de Taste of Home a testé cette technique trois fois plutôt qu’une pour s’assurer que votre dinde soit parfaite. Nous avons établi un calendrier de toutes les étapes nécessaires pour apprendre à faire cuire une dinde au four – et nous avons ajouté des conseils d’experts culinaires au fil des étapes.
Les meilleures méthodes de cuisson de la dinde
La dinde rôtie est délicieuse, mais ce n’est pas votre seule option. Voici quelques-unes de nos autres façons préférées de faire cuire une dinde.
La dinde cuite dans la friteuse (en anglais): Représentant probablement la méthode de cuisson la plus populaire après le rôtissage, la dinde cuite dans une friteuse est croustillante et juteuse à souhait.
La dinde fumée (en anglais): Riche, tendre et légèrement sucrée, la dinde fumée constitue l’une des façons les plus délicieuses de faire cuire une dinde. La méthode du fumage nécessite également peu d’intervention de votre part, ce qui vous permet de vous concentrer sur vos autres plats pendant la cuisson.
La dinde grillée au barbecue (en anglais): Si vous n’êtes pas prêt à vous passer du bon goût estival de la cuisson au barbecue, essayez de faire cuire votre dinde de Noël de cette façon… et vive les marques de grillade!
La dinde cuite à petit feu (en anglais): Idéale pour ceux qui reçoivent à Noël pour la première fois, une dinde cuite à petit feu est vraiment facile à faire. De plus, vous pouvez utiliser le jus de cuisson pour faire une sauce maison.
La dinde cuite dans le Instant Pot (en anglais): Vous avez besoin de dinde tout de suite? En faisant cuire une poitrine ou des cuisses de dinde dans l’autocuiseur Instant Pot, votre plat principal pourra être servi en moins d’une heure.
La dinde frite à air (en anglais): Pour ceux qui n’ont ni la place ni l’équipement pour faire cuire une dinde à la friteuse mais qui souhaitent quand même obtenir une peau croustillante, la friture à air d’une poitrine ou de cuisses de dinde est une excellente solution.
Ce n’est pas encore Noël? Ce calendrier de base fonctionnera pour n’importe quel jour où vous voulez faire cuire une dinde. Et n’hésitez pas à jeter un coup d’œil à nos 50 meilleures recettes pour épater vos invités à Noël!
La semaine avant Noël
Achetez une dinde
Pour son côté pratique, nous recommandons de commencer avec une dinde congelée. Planifiez de l’acheter au moins cinq jours avant de la faire cuire. En fait, plus vous la magasinerez tôt, plus vous aurez de choix.
Lorsque vous choisissez une dinde congelée, la taille compte. Une dinde de 14 livres standard nourrira 16 personnes. Vous voulez qu’il y ait des restes? Ajoutez une livre ou deux.
Truc culinaire: C’est le bon moment pour commencer à acheter les ingrédients pour la farce, la sauce aux canneberges ou le plat de haricots verts.
Faire dégeler la dinde
N’oubliez pas de faire dégeler la dinde! Quatre livres de dinde congelée prennent 24 heures à dégeler. Pour une dinde de 14 livres, sortez-la du congélateur cinq jours avant le jour J. Mettez-la au réfrigérateur pour la faire dégeler de façon sécuritaire.
Truc culinaire: Entrez une notification dans votre téléphone intelligent immédiatement après avoir acheté la dinde pour vous rappeler à quel moment vous devez la faire dégeler.
Fabriquer son arme secrète
Ce truc génial vous assurera une cuisson parfaite: alors que la dinde est encore dans son emballage, fabriquez une protection en papier d’aluminium pour le four. (Ça empêchera la dinde de trop brunir au moment du rôtissage!) Moulez quelques feuilles d’aluminium sur la poitrine de la dinde, puis rangez-les dans un endroit sécuritaire jusqu’au jour de la cuisson.
Le jour avant Noël
Comment préparer une dinde
Retirez l’emballage et enlevez tous les abats qui se trouvent souvent bien dissimulés à l’intérieur de la dinde. Ensuite, enlevez et jetez les poches de gras situées le long du cou.
Et maintenant, amusez-vous un peu en frottant l’extérieur de votre dinde avec une grosse quantité de sel. C’est le secret pour obtenir cette peau si croustillante dont nous raffolons tous. Une fois terminé, remettez la dinde au réfrigérateur.
Truc culinaire: Gardez le cou lorsque vous enlevez les abats: c’est le secret pour faire une sauce parfaitement réussie.
Comment rendre ma dinde juteuse?
Il existe de nombreux trucs pour obtenir une dinde juteuse, mais une de nos méthodes préférées est le saumurage. Ce procédé consiste à faire tremper la dinde pendant la nuit dans un mélange d’eau, de sel et d’épices afin de la rendre juteuse et de lui donner du goût.
Une autre façon de rendre une dinde encore plus juteuse est de remplacer la farce habituelle par un mélange de pommes, d’agrumes, de légumes et d’épices. Pendant la cuisson de la dinde, les arômes se libéreront et rendront la volaille plus juteuse.
Laisser la dinde reposer après sa cuisson constitue aussi un bon truc. Cela permet la redistribution des jus dans la dinde et les empêche de couler au moment du découpage.
Le jour J
Enfin, le grand jour est arrivé! Planifiez de commencer à faire cuire la dinde au moins quatre heures avant le repas, ou plus tôt selon la taille de la volaille. Suivez ce guide pour apprendre la meilleure façon de faire cuire une dinde.
Comment faire cuire une dinde au four
Vous aurez besoin de:
Une dinde entière
Le cou de la dinde, de l’oignon haché grossièrement, du céleri et des carottes (optionnel)
Ustensiles de cuisson:
- Des couteaux affûtés: Que ce soit pour couper la dinde avant de la faire cuire ou pour la découper au repas, un couteau bien affûté est une nécessité.
- Un thermomètre à viande: Ce thermomètre à sonde fiable vous avertira au moment où la dinde atteindra la bonne température interne.
- Une rôtissoire: Le fond de ce robuste plat à rôtir est muni d’une grille pour empêcher le délicieux jus de cuisson de brûler.
- Des cure-dents: Vos cure-dents standards empêcheront la peau de la dinde de rétrécir et d’exposer la chair.
Étape 1: Sortir la dinde
Sortez la dinde du réfrigérateur et laissez-la reposer à la température de la pièce environ 30 minutes. Elle cuira plus uniformément si elle est un peu réchauffée.
Étape 2: Préparer la rôtissoire
La meilleure sauce maison se fait à partir du savoureux jus de cuisson. Pour obtenir un tel jus, vous voudrez ajouter au fond de la rôtissoire des légumes – oignon haché grossièrement, céleri et carottes – accompagnés du cou de dinde et des abats. Couvrez le tout de la clayette perforée ou de la grille de la rôtissoire. Les légumes parfumeront le jus de cuisson et l’empêcheront de s’évaporer dans le four.
Truc culinaire: Si vous ne possédez pas de rôtissoire standard, n’hésitez pas à utiliser une lèchefrite. La dinde cuira tout en étant aussi bien exposée à la chaleur que dans une rôtissoire.
Étape 3: Assaisonner la dinde
Épongez la dinde à l’aide d’essuie-tout et frottez-la avec un peu plus de sel et vos épices préférées. (Nous aimons le mélange présenté dans cette recette de dinde rôtie à l’érable et aux canneberges.) Si vous avez des fines herbes, ajoutez-en une poignée à l’intérieur de la dinde, accompagnées de vin ou d’eau. Elles permettront de garder la dinde juteuse tout en assaisonnant le jus de cuisson, lequel servira plus tard à faire une sauce savoureuse.
Puis-je assaisonner ma dinde le soir avant sa cuisson?
Oui, vous pouvez assaisonner la dinde le soir avant de la faire cuire. Ajouter les assaisonnements la veille peut en fait permettre aux saveurs d’imprégner davantage la dinde.
Étape 4: Fixer la peau de la dinde
Le secret le mieux gardé de nos stylistes culinaires? Utiliser des cure-dents pour fixer la peau près des cuisses. Cette étape donnera une allure spectaculaire à votre volaille à la fin de sa cuisson.
Étape 5: Huiler la peau
Pour la touche finale, frottez la peau avec de l’huile. (Eh oui, nous préférons utiliser de l’huile plutôt que du beurre!) L’huile végétale, celle de canola ou celle d’olive fonctionnent toutes bien. Cette étape contribue à donner à la dinde une peau plus croustillante et bien dorée.
Étape 6: Faire cuire la dinde
C’est finalement le moment de faire cuire votre dinde! Consultez notre tableau ci-dessous pour les temps de cuisson approximatifs.
Nous avons découvert qu’il est préférable de commencer par faire cuire la dinde à température élevée (425°F) afin d’accélérer le temps de cuisson. (Ça rend aussi les cuisses très croustillantes!) Au bout de 40 minutes, réduisez la température du four à 325-350°F pour le reste du temps de cuisson.
Truc culinaire: Mettre la dinde au four les cuisses près du fond parce que les températures y sont souvent plus élevées. De cette façon, les cuisses cuiront à la chaleur dont elles ont besoin tandis que la poitrine cuira à une chaleur moins élevée près de la porte. Aussi, essayez de résister à l’envie de jeter un coup d’œil dans le four pendant que la dinde cuit. Ouvrir la porte refroidit le four et allonge le temps de cuisson.
Combien de temps faut-il faire cuire la dinde?
Vous n’êtes pas sûr combien de temps faire cuire la dinde? Les temps de cuisson présentés dans le tableau le sont pour une volaille dégelée au réfrigérateur.
Nous ne recommandons pas de farcir la dinde, mais si vous y tenez absolument, ajoutez alors 15 à 45 minutes au temps de cuisson. La température de la farce doit atteindre au moins 165°F.
Consultez notre tableau complet de conversion des mesures de cuisine pour avoir les meilleures mesures pour vos prochaines recettes.
Et qu’en est-il de l’arrosage?
Nous savons que grand-maman faisait cuire sa dinde en l’arrosant plusieurs fois avec amour en disant que la viande serait plus juteuse. C’est pourtant le contraire. Chaque fois que vous ouvrez la porte lorsque vous faites cuire une dinde, vous refroidissez le four ainsi que l’extérieur de la volaille, ce qui signifie qu’elle prendra plus de temps à cuire. Le temps additionnel dans le four fait que la viande sèche et que la peau ramollit au lieu d’être croustillante.
Étape 7: Vérifier la température de la dinde et la sortir du four
Lorsque vous êtes sûr que la cuisson de la dinde est presque terminée, vérifiez sa température à l’aide d’un thermomètre à lecture instantanée. Insérez la tige du thermomètre dans la partie la plus épaisse de la cuisse en faisant bien attention de ne pas toucher l’os (ce qui viendrait brouiller le résultat!).
Sortez la dinde du four lorsque sa température interne est 5 degrés inférieurs à la cuisson désirée. Ne vous inquiétez pas pour la salubrité car la dinde continue de cuire même après avoir été sortie du four. En la sortant un peu plus tôt, vous vous assurez ainsi qu’elle ne soit pas trop cuite ou qu’elle sèche.
Étape 8: Laisser reposer la dinde
Après avoir sorti la dinde du four, laissez-la reposer de 20 à 30 minutes avant de la découper.
Truc culinaire: Contrairement à ce que de nombreuses recettes vous disent de faire, nous avons découvert que vous n’avez pas besoin de couvrir la dinde de papier d’aluminium en la laissant reposer. Cette façon de faire emprisonne la vapeur entre l’aluminium et la peau, ce qui la fait ramollir. La dinde restera chaude, c’est promis!
Étape 9: Faire la sauce
Pendant que vous laissez reposer la dinde, transformez son jus de cuisson en savoureuse sauce maison. Pour ce faire, versez le jus de cuisson dans une tasse à mesurer et enlevez le gras. Ajoutez assez de bouillon au reste de jus pour remplir la tasse jusqu’à la marque des 2 tasses. Transférez le mélange de jus et de bouillon dans une petite casserole et amenez à ébullition.
Dans un petit bol, fouettez ensemble 1/4 de tasse de farine et 1/2 tasse de lait jusqu’à consistance lisse, puis incorporez en fouettant lentement le mélange dans le jus de cuisson. Assaisonnez la sauce avec du bouillon de poulet en poudre, 1/4 de cuillerée à thé d’épices à volaille et une pincée de poivre blanc. Amenez la sauce à ébullition et faites-la chauffer en brassant constamment pendant 2 minutes ou jusqu’à épaississement.
Étape 10: Découper la dinde
Une des étapes les plus importantes dans la cuisson d’une dinde est de savoir comment la découper correctement. Un bon découpage donnera non seulement fière allure à vos morceaux, mais il empêchera également la dinde de devenir dure et difficile à mâcher. Regardez la vidéo ci-dessus ou consultez ce guide pour apprendre comment découper une dinde.
Étape 11: C’est le temps de déguster!
Il ne reste plus qu’une chose à faire maintenant: déguster la dinde! Cette merveille dorée et croustillante volera la vedette et fera la joie de parents et amis. Félicitez-vous et profitez du festin!
Dans les jours suivant Noël, transformez les restes en délicieuses recettes de restes de dinde, notamment des soupes, des sandwichs ou des ragoûts.
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Vous avez travaillé toute la matinée et vous étiez tellement concentré que vous avez oublié de manger. Votre ventre qui gargouille vous le rappelle de façon éloquente (et sonore…). Une fois que ce gargouillis commence, il devient difficile de l’arrêter. Du coup, votre estomac devient le patron et une pause lunch s’impose. Alors, qu’est-ce qui provoque ce gargouillis dans votre estomac et que signifie vraiment ce bruit?
Pourquoi a-t-on le ventre qui gargouille?
Le gargouillis d’estomac – connu sous le nom de borborygme – est le son de gaz ou de particules de nourriture qui se déplacent dans votre tube digestif.
Lorsque vous mangez, vos intestins déplacent les aliments et les liquides en se contractant et en se relâchant, un processus connu sous le nom de péristaltisme. Une fois que la nourriture est digérée, vos intestins continuent de déplacer l’air le long de votre tube digestif, créant ainsi des gargouillis. Ceux-ci signifient donc simplement que vous n’avez pas mangé depuis un moment.
Vos intestins travaillent constamment pour déplacer la nourriture et l’air dans votre corps. Vous êtes donc plus susceptible d’entendre des sons lorsque vous avez faim, car il n’y a pas de nourriture dans vos intestins pour étouffer le bruit.
Alors voilà, quand vous entendez votre ventre qui gargouille, cela signifie simplement qu’il n’y a pas de nourriture en cours de digestion. Si vous avez faim, allez-y et profitez d’un repas ou d’une collation. Toutefois, ce n’est pas parce que votre estomac fait du bruit que votre corps a nécessairement besoin d’un repas. Écoutez votre faim et mangez une quantité suffisante de nourriture pour vous sentir rassasié. Suivez ces conseils pour manger en pleine conscience.
Après avoir consommé quelque chose, vous remarquerez que les sons commencent déjà à se calmer. Même une simple collation rapide ou un petit repas peut suffire à calmer vos gargouillements.
Il est toutefois important de noter qu’un gargouillement constant peut signifier que vous souffrez d’une maladie gastro-intestinale chronique telle que le syndrome du côlon irritable. Si vous remarquez également des ballonnements fréquents, de la constipation ou de la diarrhée accompagnés de gargouillis, parlez-en à votre médecin.
En cette saison de festivités et de générosité, votre amour des biscuits a besoin de s’exprimer? Vous avez une recette de biscuits qui épate la galerie? Des sablés qui n’attendent que d’être goutés, des biscuits aux pépites de chocolat qui vous font tomber les bras, des biscuits à l’avoine qui font pleurer l’oncle Antoine?
Du 8 décembre au 23 décembre (le lendemain de la journée nationale d’échange de biscuits le 22 décembre), partagez votre recette originale de biscuits sur le site d’Amarula Canada, sur la page Facebook d’Amarula Canada ou sur votre page Instragram personnelle avec le mot-clic #ÉchangeDeBiscuits, et pour chaque recette partagée, Amarula fera un don de 5$ aux banques alimentaires Québec, de l’Ontario et de la Colombie-Britannique.
Pour en savoir plus, consultez Amarula Canada échange de biscuits.
Et si votre boîte à recettes à un grand vide à combler, mais vous voulez manger des biscuits sans culpabilité, consultez notre site pour des recettes de biscuits aux ingrédients sains.
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Il y a deux ans, avant l’ère du Virus, mon époux et moi avons passé un merveilleux réveillon du Nouvel An 2020. Nous avons bu du prosecco et joué aux charades avec de bons amis dans leur maison de campagne entourée de neige scintillante. Nos deux enfants faisaient la fête avec des dizaines de leurs amis, comme on s’y attend de la part de jeunes adultes.
Le début de l’année 2021 a ressemblé davantage à une réunion de famille des Névrosés Anonymes. Ce que les temps avaient changé!
Bien qu’il aurait préféré être coincé dans un ascenseur envahi d’abeilles, Geoffrey, notre fils de 20 ans, est venu pour le réveillon parce qu’il n’y avait simplement rien d’autre qu’il puisse faire sans enfreindre les consignes. Aucun rassemblement permis. Clara, notre fille de 24 ans qui ne vivait plus avec nous depuis des années, a passé la soirée dans notre chambre d’invités. Elle venait de se faire extraire ses dents de sagesse et devait récupérer. Alors que l’un se morfondait et que l’autre gémissait, leur présence, dans notre maison en quarantaine depuis plusieurs mois, nous inquiétait comme si nous avions été envahis par des ours.
De mon côté, je contribuais à l’«effort de guerre», en encourageant les restaurateurs locaux qui avaient désespérément besoin de commandes à emporter. Mais Clara ne pouvait manger que de la nourriture pour bébé au moyen d’une paille; mon mari Ambrose est un végétarien diabétique qui venait de bannir la farine, les pommes de terre et le sucre de son alimentation; et Geoffrey ne pensait pas du tout à manger. Il rêvait de quelque chose d’inaccessible, comme d’une petite amie qu’il pourrait rencontrer dans une fête ou, à défaut… je ne sais pas…, d’une bouffée d’opium.
Tout le monde était malheureux et à bout de nerfs. Moi-même, mère qui s’enorgueillit d’être calme, j’ai éclaté en un beuglement injustifié: «D’accord, J’ABANDONNE! Débrouillez-vous tout seuls. Je soutiendrai le resto en commandant pour moi seule une triple portion de steak-frites.» Après quoi, sans savoir quoi faire d’autre, je suis allée marcher d’un pas troublé et coupable sur la route sombre et vide avec notre chienne, qui venait sans doute d’engloutir les croquettes pour l’insuffisance rénale de notre chat. Au moins, elle était heureuse.
À l’approche de minuit, mon fils et moi avons regardé sur mon ordinateur le compte à rebours de minuit à Times Square; ma maison se trouve dans le même fuseau horaire que New York. Mais les lieux étaient peuplés de personnages gonflés plutôt que d’humains. Et puis nous avons finalement remarqué que la «célébration» était diffusée avec une minute de retard. Dix, neuf, huit…, bon, peu importe.
Nous avons quand même mesuré notre chance. Nous étions en bonne santé – à peu près. Oui, bien sûr, il y a eu une recrudescence de l’hypocondrie et de la phobie des germes.
Clara était terrifiée à l’idée d’ouvrir la bouche chez le dentiste, et Ambrose refusait de quitter la maison à cause de la cible qu’il avait dans le dos: le diabète et l’hypertension artérielle sont les vulnérabilités favorites de la COVID-19; Geoffrey s’est persuadé qu’un grain de beauté sur son ventre était cancéreux – ce n’était pas le cas – et, moi, je souffre d’un trouble anxieux généralisé. Admettons, donc, que peut-être nous n’étions pas mentalement dans un excellent état. Mais, tout de même, nous étions ensemble, et nous étions vivants.
Il est difficile d’imaginer ce que sera le prochain réveillon du Nouvel An, car nous avons tous appris à ramener nos attentes à presque zéro. Ce qui n’est pas forcément une mauvaise chose. Les petits moments de joie inattendus, quand notre vie change du jour au lendemain, devraient nous faire réfléchir.
J’ai notamment remarqué que les gens ont renoncé au glamour. Le mascara est devenu invisible; quant au rouge à lèvres, à quoi bon derrière un masque? Les ventes de soutien-gorge ont certainement chuté. Un jour, alors que j’allais en ville à une réunion, je me suis rendu compte dans la voiture que j’avais oublié le mien. J’avais perdu l’habitude.
Et puis, il y a cette fois où, dans la file d’attente à l’épicerie du coin, j’ai remarqué que tous les clients, moi comprise, portaient le pyjama.
Certaines tentatives pour paraître parfait et maître du jeu au travail ont été comiquement sapées par des technologies comme Zoom. Un avocat du Texas a comparu devant un juge avec une image virtuelle de chat triste superposée à son propre visage, image dont il n’a pas réussi à se débarrasser. Le directeur politique national d’un groupe de défense d’intérêts a tenu une réunion virtuelle au cours de laquelle il a accidentellement transformé sa tête en pomme de terre. Des gens qui travaillaient ont voulu de se présenter de façon solennelle sinon guindée à leurs collègues lors de ces rencontres, mais les chiens, les enfants et les bruits du voisinage ont anéanti leur mise en scène.
En somme, nous sommes tous devenus bien plus humains. Et les moments les plus célébrés de la pandémie n’étaient plus dirigés par des célébrités, mais par les gens ordinaires qui cherchaient simplement à voir le côté comique des choses. Comme le populaire jeune chorégraphe vietnamien qui a fait la promotion du nettoyage des mains via un concours de danse sur TikTok, ou encore le présentateur sportif de la BBC qui, faute de pouvoir commenter de vraies compétitions, a commencé à filmer et à commenter le repas de ses chiens, comme s’il s’agissait d’une course olympique. Tout cela m’a rappelé cette pensée attribuée au poète persan Rumi: «Si tout ce qui vous entoure semble sombre, regardez encore. Vous êtes peut-être la lumière.»
L’anxiété m’est familière, et l’une des choses que j’ai apprises, c’est que la catastrophe ne survient jamais de la manière prévue. Si, comme on l’a dit, l’anxiété est une peur qui se cherche une cause, nous avons certainement trouvé une cause depuis deux ans. Mais nous avons aussi trouvé de l’humour et de l’humanité.
À l’orée de 2022, serons-nous autorisés à crier: «Bonne année»? Il me semble qu’il faut le faire. Prenons aussi un verre et – l’oserons-nous? – embrassons peut-être même nos amis.
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Le patient: Nathanael Milam, étudiant en soins infirmiers
Les symptômes: violentes douleurs au ventre, diarrhée, fortes fièvres
Le médecin: DrElias Zambidis, spécialiste des maladies du système immunitaire à l’hôpital Johns Hopkins
Nathanael Milam a commencé à souffrir de problèmes d’estomac vers l’âge de sept ans. Il éprouvait parfois de fortes douleurs abdominales et n’arrivait pas toujours à se retenir jusqu’aux toilettes. À d’autres moments, déféquer faisait très mal. Inquiète, sa mère, Joyce, l’a emmené consulter un médecin, qui lui a diagnostiqué la maladie de Crohn – une inflammation chronique du système digestif.
Pendant des années, médecins de famille et spécialistes de l’hôpital pour enfants Johns Hopkins à Baltimore, dans le Maryland, ont tenté de soigner Nathanael avec des médicaments modulateurs du système immunitaire ou à action anti-inflammatoire: d’abord sous forme de cachets, puis par perfusions et injections. Chaque nouveau traitement faisait provisoirement taire ses symptômes, qui revenaient immanquablement, contraignant les médecins à proposer des molécules plus fortes.
À l’école, les camarades de Nathanael le taquinaient sur sa fréquentation assidue des toilettes. S’il s’éclipsait quelques semaines et parfois quelques mois – au moins une fois l’an pour l’ablation d’une partie du côlon en raison d’une inflammation, une intervention fréquente chez ceux qui souffrent de la maladie de Crohn –, il racontait qu’il avait eu un mauvais rhume ou une grippe. «Je ne disais à personne que j’avais la maladie de Crohn, se souvient-il. C’était trop dégoûtant pour un enfant.»
Heureusement, au moment où Nathanael a fêté ses 17 ans, juste avant d’entreprendre des études en soins infirmiers à l’université de Towson, les symptômes ont semblé se calmer. «Je n’ai eu aucun problème la première année. Un rêve. Je me sentais enfin normal.»
Mais au second semestre de la deuxième année, la maladie se manifeste de nouveau. En février 2018, après avoir mangé le soir, il souffre de violentes crampes d’estomac et de diarrhée. Il se rend lui-même aux urgences les plus proches qui le transfèrent à l’hôpital Johns Hopkins où on l’opère pour une occlusion intestinale. Une semaine plus tard, une deuxième occlusion le renvoie aux urgences. Après l’intervention, il est pris cette fois de fortes fièvres, sans compter que la plaie ne cicatrise pas. Peu de temps après la chirurgie, une septicémie l’envoie à l’unité des soins intensifs où il enchaîne les pertes de conscience. Le médecin responsable de Nathanael acquiert alors la certitude qu’il ne peut s’agir de la maladie de Crohn. Apprenez-en plus sur les approches nutritionnelles pour éviter les carences causées par la maladie de Crohn.
Pendant quelques semaines, divers spécialistes se penchent sur le cas de Nathanael et lui font passer une batterie de tests. L’un d’eux révèle un taux anormalement élevé de ferritine, une protéine du sang qui permet de stocker le fer et contribue à la protection des cellules immunitaires. Le jeune homme est alors adressé au Dr Elias Zambidis, spécialiste des maladies du système immunitaire. Pour lui, un tel niveau de ferritine suggère une lymphohistiocytose hémophagocytaire, une maladie rare à l’origine d’un dysfonctionnement immunitaire.
Normalement, les lymphocytes T s’activent en présence d’une infection ou d’une maladie virale, puis se mettent au repos une fois la menace jugulée. Chez les patients atteints de lymphohistiocytose hémophagocytaire, explique le Dr Zambidis, les lymphocytes T ne déposent pas les armes mais poursuivent leur combat, faisant augmenter l’inflammation qui s’attaque à son tour aux parties saines de l’organisme. «C’est un peu comme si le système immunitaire de Nathanael avait un accélérateur mais pas de freins», explique-t-il.
Ce diagnostic confirmé par les analyses sanguines permet de comprendre pourquoi les médicaments contre la maladie de Crohn administrés à Nathanael sont restés sans effet. La lymphohistiocytose hémophagocytaire – qui touche environ une personne sur un million, surtout des enfants – constitue la pièce manquante d’un problème plus vaste. Le Dr Zambidis sait que, chez certains patients, les maladies intestinales inflammatoires comme la maladie de Crohn et la lymphohistiocytose hémophagocytaire ont une même origine: le syndrome lymphoprolifératif associé au chromosome X de type 2 (XLP type 2), une maladie génétique rare, elle-même causée par la mutation d’un gène. «Nous avons procédé à un test génétique et la réponse était confirmée: Nathanael était porteur du gène.»
Le diagnostic semble arriver trop tard. À seulement 19 ans, Nathanael est en train de mourir – rapidement. «La bataille semblait perdue, se souvient le médecin. De nombreux collègues privilégiaient des soins de compassion.»
Mais le Dr Zambidis a une idée. Si on arrive à réduire l’inflammation, une greffe de la moelle osseuse pourrait éventuellement soigner la lymphohistiocytose hémophagocytaire et augmenterait les chances de guérison du jeune homme. Seule inquiétude: l’étoposide, un médicament utilisé en chimiothérapie pour réduire l’inflammation avant une greffe de la moelle osseuse, risque de ravager son organisme et de faire chuter son taux de globules blancs. «Aux soins intensifs, avec des infections qui rongeaient ses intestins, Nathanael n’avait surtout pas besoin de ça», dit le Dr Zambidis.
Le médecin propose une solution de rechange: l’anakinra, normalement utilisé dans le traitement de l’arthrite rhumatoïde. Et ça marche. En moins de deux mois, l’inflammation disparaît. Mais Nathanael n’est pas encore tiré d’affaire. Si son organisme réagit mal à la greffe, il pourrait ne pas s’en sortir. (Environ un tiers des enfants qui souffrent de lymphohistiocytose hémophagocytaire en meurent.) «Je n’ai pas eu de mal à décider, se souvient Nathanael. Entre me battre et risquer de mourir et ne pas me battre et être sûr de mourir, le choix m’a paru évident.»
En janvier 2019, Nathanael reçoit une greffe de moelle osseuse. Cinq mois plus tard, il rentre chez lui complètement guéri. Comme lorsqu’il était enfant, il lui arrive d’avoir des crampes d’estomac et de souffrir d’incontinence, mais s’il compare sa situation à celle de deux ans plus tôt, il est infiniment reconnaissant d’être en vie.
Nathanael Milam a repris les cours à l’université de Towson, mais en gestion des soins de santé, un métier qui l’amènera peut-être à amasser des fonds pour la recherche sur les cellules souches dans le but d’aider des patients comme lui. «J’ai souvent dû me battre pour survivre, dit-il. Mais quand j’étais très malade, des anges se sont occupés de moi et je leur en suis encore reconnaissant.»
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